Bonne Année 2008 !! : Valparaiso et Desert d'Atacama

Hello,

C'est la période des voeux et autres galettes des rois, je me dois donc de vous écrire afin de vous souhaiter mes meilleures voeux pour cette année 2008. Quant aux voeux que vous pourriez me souhaiter, s'ils concernent mes envies de voyages et d'aventures, ils sont déjà comblé dès le 1e Janvier!

Retour sur cette dernière semaines, celle pendant laquelle vous vous êtes gavé de chocolat et de foie gras , bande de veinards... mais en contrepartie vous avez bien dû avoir froid, et en plus vous devez reprendre le boulot !!! Ha, Ha , je me marre...

Donc, Apres les Eglises en bois de Chiloé, j'ai pris un bus de nuit (et de jour) pour arriver au bout de 16 heures à Santiago pour une correspondance vers Valparaiso. Ne me demandez pas pourquoi je souhaitais visiter cette ville; je ne le sais pas moi même. Peut-être parce que le nom est rigolo mais sans doute plus parce que cette ville est synonyme de voyage. Les trois mâts d'antant ci arrêtais apres avoir connu les tempetes du Cap Horn et aujourd'hui, il s'agit toujours d'un port important sur la côte pacifique.

Le port est entouré d'une trentaine sinon plus de colline qui sont d'autant de "Montmartre". Les mainsons aux style colonial se suivent le long des Paseo qui permettent de contempler la ville et son animation.

C'est ici que j'ai passé Noël dans une chambre d'hôte et la famille m'a gentillement invité à sa table pour le réveillon. J'avais précédement largement foiré ma recette d'omellette au pommes de terre sautée avec quelques morceaux de pêche...tant pis, je le retenterai plus tard.

Apres quelques jours à me promener au milieu des maisons colorées en empruntant notemment les fameux ascenceurs qui permettent d'atteindre le haut des collines, je me suis retappé 25 heures de bus afin de rejoindre le désert d'atacama. Au programme, visite de San Pedro de Atacama, petit village tourisque mais néanmoins tres sympathique et presque authentique. Les maisons en torchis tranches avec les baraques en tôles ondulées que j'avais pu voir dans le Sud. Ensuite, j'ai passé une nuit dans les étoiles : Un Astronome Français anime chaque soir des conférence à la lumière des étoiles... et là, il y en a beaucoup!! Je vais devenir incollable dans la lecture du ciel... les filles accrochés vous!!

Enfin, et surtout, je suis partis avec un groupe de 5 personnes en 4*4 dans le desert d'atacama. La bas, les différentes Lagunes colorées de vert, de bleu et de rouge accueillent des colonies de Flamands Roses. Le spectacle de cette nature vierge est unique; dommage que le chauffeur nous prese un peu pour repartir car nou n'avons pas le temps de profiter et de méditer sur les ravages de l'homme sur notre terre et surtout sur son manque de recul sur sa vie de tout les jours. Cette vie là nous a quand meme un peu manqué dans le premier refuge car à -10 degrés les douches chaudes nous manquent... L'autre points fort de ces quelques jours en4*4 est la traversée du Salar d'UYUNI. Cet océan de sel est la plus grabde étendues plate au monde soit 11000 km2 d'un blanc limpide. Cet univers est totalement indescriptible , reportez vous vers les photos mais mêmes elles ne peuvent retranscrire les sentiments qui nous traversent èn ces moments.

Par contre, l'arrivée à Uyuni le 31 décembre, c'estbien un sentiment de vide qui à habité le groupe. Nous pensions trouver un endroit sympas pour passé la soirée mais Uyuni by night est encore plus calme que Uyuni le jour.... le seul bar à peu prêt sympa était donc desert... à l'image du salar. L'année 2008 a donc commencé tranquillement.

A plus!!

Des nouvelles du petit gars, là-bas

Un voyage de plusieurs mois ressemble à un Atlas. Tous les jours, je tourne une nouvelle page pour découvrir un nouveau paysage, de nouvelles personnes. Et comme plongé dans un bon livre, le temps ne semble plus avoir d'importance. Je ne sais plus trop si je suis parti il y a 1 jour, 1 semaine ou 1 siècle... les jours passent sans se ressembler et ainsi est ma nouvelle vie. Tous ça pour dire que je ne sais plus trop où j'en suis dans le conte de mes aventure.

De mémoire, j'ai du vous écrire la dernière fois de Puerto Natales. Depuis, de l'eau à coulé.


D'abords, comme prévu, je suis monté à bords d'un cargo de la compagnie Navimag afin de Naviguer à travers les Canaux Patagonien, le long de la côte Chilienne, jusqu´a Puerto Montt. Essayer de vous raconter les paysages est une pure perte de temps de ma part mais je m'y lance néanmoins sinon ce blog n'aurai aucune utilité : La Patagonie Chilienne est un paysage encore pure et violent. Il fait froid et le vent soufflant à travers les îles nous frappe le visage dès que l'on se risaue sur les ponts du bateau. Les gens du coins m'ont même dit qu'ils parlaient de vent seulement à partir de 80 km/h avant, il ne s'agit que d'une petite brise. C'est pourtant sur les ponts du navire que j'ai passé la plupart du temps pour profiter de ce paysage invraissemblable . Les Montagnes se jettent dans la mer en même temps que les glaciers descendant des sommets. Le Bateau doit de plus se frayer un chemin à travers les côtes des îles au milieu desquelles il se fraie un chemin. A certaines endroits il n'y a pas plus de quelques mètres de chaques côtés de la coque - y compris en dessous d'après le sonar (Quand j'étais sur la passerelle, le record étais de 12 mètres de profondeur - on en rigolerai quand on est habitué au zodiac et au petits bateau mais on fait moins le malin dans un cargo avec un tirant d'eau de 5 mètres)
Le temps n'étais malheureusement pas de la partie pour avoir de belle photos mais quand on est en Patagonie, il faut nécessairement s'y attendre. Quand il n'y avait rien à voir à cause des nuages et de la pluie, un tarrot était le bien venu pour passer le temps avec les quelques français à bord.

Une fois débarqué à Puerto Montt au bout de 3 jours, j'ai été pris en charge par un couple de camping-cariste retraités du croizic - Chantale et Jean-loup - partis pour plusieurs mois dans leur engins. Nous avons ensemble pris la route pour Chiloé. Cette île est réputée pour ses villages de pècheurs et ses maison et ses églises en bois. Une autre particuliarité de l'île est la Pingouinera de Pinhuill. C'est le seul endroit au monde où se cotoient des Pingouins de Magellans et des Pingouins de Humbolt !!! Imaginez donc !!! Pour ceux qui, comme moi, ne sont pas Ornitholgue et que ça laisse froid de savoir quel pingouin à 1 ou 2 lignes blanches sur le flan, cet endroit est aussi remarquable par la faune qui l'habite. En moins de 10 minutes de bateau nous pouvons voir des pingouins, des loutres et des Loups de Mers ainsi qu'une multitude de Cormorans et autre volaille que Jean-Loup - Passionné pas les oiseaux - m'a décrit longuement.
Enfin, la visite de la Pingouinera à été pour nous l'occasion d'être bloqué sur la piste avec le camping car - ce dernier n'arrivant pas à franchir une côte. Ceci m'a permis de jouer les acrobates perché sur le pare-chocs du véhicule en espérant ajouter un peu de poid sur les roue-motrice et finalement nous sommes passés (en ayant préalablement vidé le camping-car et donné quelques coup de pelles dans la piste pour éliminer des bosses et des cailloux...)


Après 3 jours dans le camping car, j'ai de nouveau levé le pouce pour découvrir le reste de l'île (Le village de Tenaun, Dalcahué, l'ile de Quinchao, Castro et Chonchi). Je ne sais pas si je l'avais déjà écris mais faire du stop permet de rencontrer des gens géniaux à tous les coups. â Castro celà m'a permis de rencontrer un pècheur qui m'a ensuite invité à manger chez lui des Empanadas de Marisco - Sorte de chaussons aux pommes sans pommes et avec des fruits de mers. C'etait une belle preuve d'hospitalité des Chiliens.

Au bout de 5 jours de visites, j'ai repris le car pour aller, au bout de 18 heures, à Valparaiso qui fera l'objet d'un prochain article.

Pour terminer, je reçois bien tous vos messages par mail ou comme commentaire sur le blog. Désolé de ne pouvoir y répondre personnellement par manque de temps (et aussi par faignamtise...) mais à chaque fois, celà me fait vraiment chaud au coeur et m'encourage à continuer mon blog .. et donc mon voyage !!! Merci...

Ciao et bonnes fètes de fin d'année

Aujourd'hui, j'ai mangé des cerises

Toujours plus : Tierra del Fuego

Depuis que je voyage, je rencontre toujours des gens qui vont plus. Mais depuis quelques jours, j'ai l'impression d'en voir quand meme beaucoup plus que d'habitude.
Generalement, je rencontre des "tour-du-mondistes" qui quittent tout pendant un an pour voyager. Cela me faisait rever avant que je le fasse á ma facon. Maintenant que j'ai franchi cette etape, voici que je rencontre maintenant des bosses du niveau suivant : Entre Puerto Natales et Ushuaia, j'ai rencontre 1 couple Australien desirant faire le tour du Cap Horn en Kayak de mer, un autre d'un soixantaine d'annees qui partait pour un periple de 2 ans en moto type Paris-Dakar, et une multitude de cycliste partant entre 1 et 3 an pour faire le tour des Ameriques ou du monde en VTT. Je ne parle pas ici des Francais en 2 Chevaux ni des camping caristes arrives en Cargo et que l'on croise par dizaines sur ces terres plus tres sauvages.

Comme quoi, il me reste encore plein de voyages á faire, tous de plus em plus fous!! (pauvre Maman!)

Sinon, semaine calme á part le depart d'Ushuaia en Stop sous la neige (Heureusement je n'ai pas attendu plus d'une demie heure car je commencais á avoir froid dans le vent). Ce qu'il y a de bien en faisant du stop ce sont les rencontres avec des vrais gens du coin - pas d'autres touristes que je vois dans les bus et les auberges - ce qui me permet de pratiquer enfin mon espagnol - surtout qu'il faut bien passer le temps pendant le voyage... les villes, villages et hameaux sont en effet distants de 100Km voir plus !!! De plus, les villes etapes dans lesquelle j'echoue le soir reserve á chaque fois des bonnes surprises : Des petits campings ou des hotels avec d'autres "aventuriers de la route" c'est á dire les personnes que j'ai decris un peu plus en avant dans ce chapitre.

Voili, voilou... pas grand chose á dire de plus... il s'agit pour moi d'une semaine d'attente en quelques sorte avant de prendre le ferry á Perto Natales pour remonter les cotes du Chili jusqu'á Puerto Montt. Auparavant, je serai passe par Rio Grande, San Sebastian, Punta Arenas et peut- etre Tilueche demain (á l'aide Google Earth!!!!)

A si, detail important que j'allais oublie. Pour l'Argentine et le Chili, j'avais budgete 15 Euros par jour. Pour ces pays qui sont les plus chers d'Amerique du Sud, j'avais vise un peu bas. J'ai donc derive par raport au prevision mais finalement rien de grave. Je ne suis pas loin de la cible et je suis encore tres en dessous de ma fourchette haute de mes previsions. Merci á un contexte taux de change extrement favorable en debut Novembre et surtout au Ingenieurs de Quechua qui ont realise une super tente qui resiste au vent et qui ne prend pas beaucoup de place dans le sac. Le camping en Amrique du Sud, en plus d'etre convivial est aussi economique!

A bientot!

- Qu'est ce que tu fais ce week end? - Heu... je ne sais pas , peut-etre que j'irai à Ushuaia

Ce titre peut paraitre, aux yeux des sédentaires, comme un dialogue tout à fait incroyable. Pourtant, quand on y est vraiment, et bien on est un peu deçu. A Ushuaia, il n'y a pas grand chose à faire sinon en parler à ses potes restés en France pour frimer. Comme ce n'est pas ma tasse de thé, je ne pouvais pas y rester très longtemps. En plus, cette ville est assez frustrante car on croit arriver au bout des terres et on s'aperçoit en descendant du bus que des montagnes nous narguent de l'autre côté du canal de Beagle.

Ushuaia est donc totalement "has been" comme destination. Surtout que depuis l'avènement de Google Earth, la vraie destination au sud est devenue "Perto Williams" , la vrai ville la plus autrale au monde et un challenge pour les routards fauchés. J'y suis donc allé car là, c'est vraiment la classe!

Pour traverser le canal de beagle ce n'est malheureusement pas très aisé. Il y a 2 solutions : L'avion - mais c'est pas tres routard - ou le Zodiac et la, l'aventure commence! 45 minutes de bateau sont nécesaires. A bord, 2 autres routards aventureux m'accompagnent. Il faut être assez aventureux en effet pour aller sur cette île de Navarino et dans le village de Puerto Williams car la bas il n'y a pas de magasin pour touristes ni d'hotels 4 etoiles. Seulement quelques depart de treks dans lesquels j'ai essayé de me lancer. "Essayer" Seulement car le mois de decembre ici est un melange de mois de Mars, Septembre, Novembre en France (Voire du mois d'aout 2007!!) quand il ne pleut pas, il neige. Les chemins sont donc boueux à souhait ( je crois que je n'arriverai pas à ravoir mes bas de pantalons), la vue est bouchée par les nuages et la pluie n'en finie pas de tremper les vetements et l'interieur du sac à dos. Enfin, la neige et le froid, nous condamnent à ne pas s'arreter pour ne pas se refroidir les mains et les pieds.

Dans ces conditions, j'ai renoncé à ma rando de 4 jours au bout de 2 heures. Le lendemain je me suis contenté de la montagne qui surplombe le village et je suis revenu en zodiac ce matin. Précédemment, en rencontrant d'autres routards dans le village, j'avais pu verifier que je n'ètais pas le seul à avoir renoncer autrement cela aurait été la honte pour moi!!

Me voici donc revenu à Ushuaia et demain je pars en Stop vers Porvenir - Toujours en terre de feu - pour regagner Punta Arena et Puerto Natales oú màttend un Ferry le 13 decembre.

Ciao

51º43'39" Latitude Sud : Puerto Natales

Bonjour,

Désolé de ne pas pouvoir vous écrire plus souvent. Cependant, je suis en train de réaliser un tour de l'Amérique, pas un tour des Cyber-Cafés du continent !!
Pour le titre de cet article, j'avais le choix entre "Christophe, Fils des Terres du Sud", "Je pue et j'aime ça" et "Il faut sauver le soldat Ryan". En effet, chacun d'entre eux représente une partie de ce que j'ai à vous raconter aujourd'hui. J'ai finalement choisi la position géographique - au moins la latitude - de la ville de Puerto Natales dans laquelle je me trouve. Il s'agit, pour l'instant, de l'endroit de plus au Sud dans lequel un Christophe LARDIERE n'a jamais été !!!

"Christophe, Fils des terres du Sud" (Chason associée pour apprécier le paragraphe : "Fils des Highlands" du groupe GOLD)

Revenons à nos chapitres. Le premier concerne ma première, deuxième et plusieurs parties même de mes impressions sur la terre de feu. A mon arrivée à Puerto Natales au Chili il y a une semaine, j'ai été frappé par le paysage : Un mélange de Côtes Bretonne et des Alpes. L'endroit ressemble à un lac de montagne avec une odeur de Goemont - C'est un fiord - avec pour fond de paysage, les premiers sommets enneigés de la cordillère des Andes. La ville ressemble, quant à elle, à ce que j'ai toujours imaginé des villes de cette partie du monde. De petites maisons en bois et en tôle séparées par des rues désertes et le vent du pôle tout proche. En fait, je me sens déjà comme chez moi dans cette petite ville du bout du monde. Enfin, lors de ma rando dans le parc Torre del Paine, j'ai connu le froid, la faim, le vent et la neige mais j'ai relevé brillament ce challenge.

"Je pue et j'aime ça" (musique : "Ose" de Yannick Noah.)

De quel challenge s'agit-il me demanderez vous-alors. Et bien, il s'agissait pour moi de boucler en 5 jours le fameux "W" - La rando la plus célèbre du parc - en autonomie totale pour la nourriture. Ce parc est le paradis des trekkeurs. Les vêtements Quechua, la marque des vêtements de rando de Decatlhon, trouvent ici leurs limites et je sors donc une artillerie à base de North Face.
Le paysage est un paysage de montagne classique à ceci prêt que l'on marche vraiment pas loin des glaciers, le panorama sur les fameuses Torres est unique et le bruits des craquements des glaciers le soir et le son lointain des avalanches quand on dort dans la tente donnent un environnement sonore difficilement trouvable en France.
Je ne m'étendrai pas sur le paysage, vous regarderez les photos. Juste une petite conclusion :
Je n'ai pas l'habitude de me vanter, enfin j'espère, mais ma préparation était niquelle : Le matériel était celui qu'il fallait, bonne estimation du besoin en nourriture, physique suffisant pour parcourir le W dans les mêmes temps que les golgotes Suisses. Petites ombres au tableau : La prochaine fois, j'emmene autre chose que des pates car au bout du 5e jour, je n'en pouvais plus! Et j'emmenerai aussi du chocolat en guise de récompense après 7 heures de marche!
Mais qu'est ce qui motive le titre de ce paragraphe me direz vous? c'est simple, j'ai fait cette rando à la dure : Autonomie en nourriture, portage de tente, camping pratiquement sauvage et sac de 14 kilos sur le dos. Quand on traduit, celà donne : Pas de place pour les rechanges dans le sac et pas de douche pendant 5 jours. Les journées étant difficiles, je vous laisse imaginer l'état des mes chaussettes et de mon tee-shirt!!

"Il faut sauver le soldat Ryan" (Bien regarder le film du même nom avant!!)

Dans ces moments difficiles de rando comme j'ai pu le faire (mais les vrais montagnards riront car finalement c'était relativement simple) , il ne faut JAMAIS, oublier son potes sur le champ d'honneur. Laisser un amis sur place, c'est laisser une part de soi-même. J'ai donc eu, pour le dernier jour, à aller rechercher Ryan, laissé par erreur dans le refuge situé à la mi-etape de la veille. Ryan, c'est mon amis depuis 16 ans, mon meilleur confident lors de mes voyages en solo : Mon couteau Suisse. Pratiquement arrivé au dernier camping, je me suis aperçu que je l'avais laissé dans le refuge où j'avais mangé le midi. Après une courte nuit pour récupérer des efforts, je me suis donc levé à l'aube pour repartir en arrière. Et je l'ai retrouvé, là, gisant sur la table.... Heureusement pour lui et pour moi, j'ai pu le reprendre et choper ensuite le bus pour revenir à Puerto Natales.
On notera, à mon désespoir, que j'accorde trop d'importance à ce couteau au moment même où je lit un livre du Dalai Lama sur la philosophie Boudhiste consistant notemment à ne donner aucune importance à la valeur des objets qui nous entourent.... Mais je ne suis rendu qu'au premier chapitre!!!

Avant de conclure, juste un petit coucou à Claire et David, un couple de Français vivant au Quebec avec qui j'ai terminé le trek. Bonne Chance pour leur tour du monde des Marathons! Au passage, nous avons fini en bons terriens autour d'une biere pour fêter la fin du trek. Pourquoi en bons terriens? Parce que de toutes les sociétés que j'ai rencontrés lors de mes voyages, j'en ai tiré 2 points communs : Le goût pour l'alcool et la spiritualité. ( Pas encore de quoi jeter de nouvelles bases pour une nouvelle théorie sociologique mais c'est cependant mon sujet de reflexion préféré du moment : Pourquoi les sociétés modernes essayent d'hanihiler ces 2 points communs cités plus haut pour nous enfermer dans la société de consommation et du Tous Pareils?)

Demain, je continue ma route vers le Sud, destination Ushuaia. Les estimation pour le trajet sont pour l'instant : Noel à Valparaiso, nouvel an vers Salta en Argentine.

A bientôt!